Elles enregistrent moins de disques que leurs homologues masculins, se produisent dans des salles plus petites, sont moins diffusées sur les ondes et en streaming… Dans la musique, les inégalités persistent, analyse dans sa chronique Guillaume Fraissard, chef du service Culture.
Source / Lire la suie : « Derrière les succès des Mylène Farmer, Clara Luciani ou Aya Nakamura, la réalité est beaucoup moins réjouissante pour les artistes féminines »